Eléments de littérature, 2. kötet

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Librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie, imprimeurs de l'Institut, 1879
 

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87. oldal - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
92. oldal - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants. Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
53. oldal - Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
363. oldal - Elle aperçoit Henri, se détourne, et soupire. Auprès d'elle est l'orgueil, qui se plaît et s'admire; La faiblesse au teint pâle, aux regards abattus, Tyran qui cède au crime, et détruit les vertus ; L'ambition sanglante, inquiète, égarée, De trônes, de tombeaux, d'esclaves entourée ; La tendre hypocrisie aux yeux pleins de douceur, (Le ciel est dans ses yeux, l'enfer est dans son cœur;) Le faux zèle étalant ses barbares maximes ; Et l'intérêt enfin, père de tous les crimes.
52. oldal - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
52. oldal - II me semble déjà que ces murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et, prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser.
91. oldal - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
153. oldal - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
319. oldal - Couronner tour à tour l'esclave et la princesse ; Immoler Troie aux Grecs , au fils d'Hector la Grèce ! Tout cela part d'un cœur toujours maître de soi D'un héros qui n'est point esclave de sa foi.
217. oldal - Comment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d'Israël! » A ces cris Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du temple s'ébranlèrent ; le Jourdain se troubla , et tous ses rivages retentirent du son de ces lugubres paroles : « Comment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d'Israël...

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