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tion préalable, comme lorsqu'un jugement ordonne la restitution d'une somme avec les intérêts.... Mais ce taux ne devrait pas porter le nom d'intérêt légal, par la raison qu'il ne doit pas y avoir d'intérêt illégal, pas plus qu'il n'y a un cours des changes illégal, un prix illégal pour le vin, la toile et les autres denrées» ( J. B. SAY, Economie politiq., liv. 11, chap. 8).

Un ouvrage du célèbre Jérémie Bentham sur cette grave question paraît à l'instant même, traduit en français, sous le titre de Défense de l'usure, ou Inconvéniens des lois qui fixent le taux de l'intérêt.

120 De l'homme, sect. VIII, chap. V.

121 Si spoponderis pro amico tuo, defixisti apud extraneum, manum tuam, illaqueatus es verbis oris tui, et captus propriis sermonibus (Proverb., VI, 12).

122 Cùm repetes à proximo tuo rem aliquam, quam debet tibi, non ingredieris domum ejus ut pignus auferas; sed stabis foris, et ille tibi proferet quod habuerit (Deuteron., XXIV, 10, 11).

123 Non accipies loco pignoris inferiorem et superiorem molam, quia animam suam opposuit tibi (Deuteron., xx1v, 6). Le texte dit : Car ce serait prendre pour gage la personne même.

124 Deuteron., XXIV, 10, 13.

125 Le texte dit à la lettre Celui qui aura prêté quelque chose à son prochain, ne pourra l'exiger de son prochain ni de son frère, quand on aura proclamé le relâche de l'Éternel; mais il pourra l'exiger du Nocri (Deuteron., XV, 1, 3).

Nous ne partageons pas, comme on voit, l'avis de Josèphe et des docteurs qui ont pensé que les dettes en cette année étaient abolies; mais nous regardons cette loi comme la conséquence naturelle de celle qui ordonnait que la terre se reposât tous les sept ans; on en

levait au débiteur les moyens de se libérer, il était juste qu'on suspendît aussi le droit de réclamation; mais le créancier conservait son titre pour le faire valoir, dès que celui qu'il avait obligé se trouvait de nouveau dans le cas de percevoir des revenus.

126 Exod., XXIII, 7. — Lévitiq., XIX, 2.— Nombr., xxx, 3. Proverb., xx, 14.- Lévitiq., VI, 2. 4. — Exod., xXII, 21; XXIII, 9. — Lévitiq., xxv, 47. — Voyez, tom. II, le chap. relatif aux individus étrangers, liv. v, chap. III.

127 Nolite facere iniquum aliquid in judicio, in regulâ, in pondere, in mensura. Statera justa et æqua sint pondera, justus modius, æquusque sextarius.... Non habebis in sacculo diversa pondera, majus et minus: nec erit in domo tuâ modius, major et minor. Pondus habebis justum et verum, ut multo vivas tempore super terram.... Abominatur enim Dominus tuus qui facit hæc, et aversatur omnem iujustitiam (Lévitiq., x1x, 35, 36. — Deuteron., xxv, 13, 16). Voyez, note i du liv. vi.

128 La Vulgate traduit par un nom de pays, Coa, le mót Mikoé, qui vient de Kavah, cordeau, fil. (II Chroniques 4 1, 16).

129 Les voyages en Tarsis, dont il est parlé, marquent probablement Carthage, colonie phénicienne (III Rois, X, 22).

130 IV Rois, VIII, 21, 22. II Chroniq., XXVI, 2.— IV Rois, XIV, 22.

131 EZECHIEL, XXVII, 17, 19.

Il y a de grandes différences d'opinions sur la signification des mots Javan et Mosel, celui-ci n'est peutêtre qu'un adjectif? Indiquent-ils la Grèce, ou des contrées de l'Arabie? Il en est de même de Dan, que quelques uns disent être bien distinct de la tribu de Dan. 132 II Chroniq., XXIV.

-

133 ESDRAS, VIII, 29, 33.-II Chroniq., XVI, 2. — [V Rois, xvIII, 15.

134 Non coacervet aurum et argentum ut asservet in thesauris suis quibus superbiat aut delectetur. Sed colligat quantum debet exercitui suo, servis et ministris, totumque illud reponat in gaziophylacio domus Dei, ut ibi præstò sit ad necessitates reipublicæ atque bellorum.... Inferat argentum ad thesauros domus Domini, et concredat ma— nibus fidelium Israël, ut sit in promptu pro necessariis sumptibus regni.... Non multiplicet sibi opes, argentum et aurum ut relinquat in privatis thesauris, ultra id quod erogandum est; si excedit, vapulat (Acta regum, cap. III, SCHICKARD, de jure reg. Hebreor., pag. 84-85).

135 Nombr., xxxi,

136 Exod., xxx, 15.

Deuteron., VII. 25.

137 Et statuemus super nos præcepta, ut demus tertiam

partem sicli per annum, ad opus domus nostri Dei ( NÉHĖMIE, X, 32).

Il ne faut jamais perdre de vue que la Maison de Dieu, chez les Juifs, renfermait aussi le palais de l'assemblée nationale, et tout ce qui regardait la république.

138 Primo die februarii, senatus misit ad omnes civitates Israëlis qui proclamant ut adducant siclos.... Die decimo quinto ejusdem.... reparant vias et plateas, ut et aquæ receptacula faciunt deindè omnes necessitates quæ publicum respiciunt (MISCHNA, de Siclis, tom. II, cap. 1 et suiv. BARTENORA, MAIMONIDE).

139 Sin autem ille qui voverit, voluerit redimere eam, dabit quintam partem estimationis suprâ (Lévitiq., XXVII, 15). 140 Lévitiq., xxvii, 16. De rebus consecratis. - MAIMONIDE. -Sin autem voluerit redimere, sed alteri cuilibet fuerit venundatus, ultra eum qui voverat redimere non poterit: quia cum jubilæi venerit dies, sanctificatus erit Domino, et possessio consecrata ad jus pertinet sacerdotum (Lévitiq., id. 20-21).

Il ne faut pas perdre de vue, je le répète, que le nom du Sacerdote est pris souvent pour le trésor même, attendu que les offrandes passaient par ses mains, et qu'il en était le dépositaire. Les sacerdotes ne pouvaient posséder que les faubourgs des villes citées plus haut, chap. III de ce livre. Le principe à ce sujet est d'une précision incontestable « In terrâ eorum nihil possidebitis, nec habebitis partem in eos. Non seulement, ils ne recevront aucun lot dans le partage, mais ils ne posséderont rien, ils n'hériteront de rien.

141 Mais ceux des veuves ou des femmes répudiées ou divorcées étaient valables, parce qu'elles se trouvaient dans un état d'indépendance ( Nombr., xxx).

142 La Vulgate traduit « Et omnis consecratio, quæ offertur ab homine, non redimetur, sed morte redimetur (Lévitiq., XXVII, 29).

143 Jussit ergò Moyses præconis voce cantari: Nec vir, nec mulier quidquam offerat ultra in opere sanctuarii (Exod., XXXVI, 6).

On a déjà vu que chaque tribu était l'état en petit, et que tous les principes de celui-ci s'appliquaient à celles-là.

6;

143 (bis). II Chroniq., x1, 5-12; xiv, 6, 7; xvi, 2, xxiv; xxxii, 4, 30; MISCHNA, tom. Iv, de Synedriis, cap. v. NÉHÉMIE, X. Plus haut les notes 134 et 138

et la not. suiv. 144. Au lieu de réparation du temple, on peut lire réparation du tabernacle portatif, afin d'éviter toute équivoque.

144 III Rois, XI, XII; II Chroniq., XI. Ne rex mulctet Israël, dit Aben-Esra, sicut fecit Salomo qui argentum collegit instar lapidum in Jerusalem, ut populus præ insatiabili ejus amore opum murmuraret tacitè dum viveret, sed apertè post obitum (Commentair. - SCHICKARD, de jure reg. Hebræor., pag. 84, 85).

Rex qui exigit plura quàm sibi debentur destruit regionem. Rex juris sui observans stabilit regnum : at vis exactionum destruit illud (Idem ).

Ecce talem scriptura non dignatur appellare regem, sed simpliciter vocat virum, quia indignus est regio titulo (LEVIBEN-GUERSON). Si rex munera extorquet ab hominibus aut exasperat tributum populi sui, hoc ipso facto civitatem evertit (Voyez SCHICKARD, loc. cit., pag. 109).

145 EZECHIEL, XLV, 13-17.

146 Voyez ci-dessus, liv. II, notes 107, 108, 109.EZECHIEL, XLV, 8.- NÉHÉMIE, Ix, 34, etc.).

147 IV Rois, xv, 18-20.

148 IV Rois, xxiii. 35.

149 JOSEPHE, Antiq. jud., liv. xIV, chap. XVII.

FIN DES NOTES DU PREMIER VOLUME.

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