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42 Numquid totâ die arabit arans ut serat, proscindet et sarriet humum suam? Nonne cùm adæquaverit faciem ejus. seret gith et cyminum sparget, et ponet triticum per ordinem, et horreum, et milium, et viciam in finibus suis ?.... Non enim in serris triturabitur gith, nec rota plaustri super cyminum circuibit: sed in virga excutietur gith, et cyminum in baculo (ISAIE, XXVIII, 25, 27).

43 ISAIE, V.

44 ISAIE, XXV, 10. REGNIER, Agriculture des Juifs, pag. 408.

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45 MISCHNA, tom. IV, de Dumnis, codex II, cap. IX, 8.

46 Deuter., XXII, 9.Lévitiq., XIX, 19. Atque de his dicunt quod majori ex parte à mulieribus perficiantur, sicut de productione aquarum reperimus apud ipsos. Si decem virgines se ornent, vestimenta rubra induant, saltent ità ut una alteram impellat, idque progrediendo et retrogrediendo, digitos denique versùs solem certis signis extendant, ad finem perductâ istâ actione aquas elici.... Si quatuor mulieres tergo jaceant et pedes suos cum complosione versùs cœlum extendant, certa verba, certos item gestus adhibeant, illos hâc actione grandinem decidentem avertere (More Neboukim, pars III, cap. xxxvII).

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47 Voy. la note ci-dessus 42. ISAIE, XLI, 15.-AMOS, II, 13.-I Chroniq., xx1, 23.

48 Deuter., XXIV, 6. ISAIE, XLVII, 2.

49 Genèse, XLIX, 20.

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50 Proverb., XXVII, 22.-II Rois, XVII, 19. JOSEPHE, Antiq. judaïq., liv. V, chap. VIII. — III Rois, IV, 28. REYNIER, Écocomie rurale des

51 ABULFEDA. Arabes, pag. 91.

52 Genèse,

XLIX,

53 ISAIE XV, 8-11.

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54 ISAIE, V, 2.

55 Fertilis fuit Moab ab adolescentiâ suâ et requievit in fæcibus suis nec transfusus est de vase in vas: et in transmigrationem non abiit: idcircò permansit gustus ejus in eo, et odor ejus non est immutatus. Proptereà ecce dies veniunt, dicit Dominus et mittam ei ordinatores, et stratores laguncularum, et sternent eum et vasa ejus exhaurient, et lagunculas eorum collident (JÉRÉMIE, XLVIII, 11, 2).

56 Deuter., xx, 19. 57 Léviliq., XIX, 25.

Voy. notre tom. II, p. 239.

58 MISCHNA, De præputio arbor.; De jure anni septimi; De festis tabernac., etc., etc. —GUENÉE, Mémoires sur la fertilité de la Judée. REYNIER, Économie rurale des Juifs.

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59 MISCHNA, De primitiis, cap. II, § ɛ.

Go Cantiq. des Cantiq., VII, 12, 13.

MISCHNA, De Heterogeneis, cap. VIII, § 1. More Neboukim, pars III, cap. xxxvII.

62 Guerre judaïq., liv. III, ch. xxv, § VI.

63 PLINE, Hist. natur., liv. XII, ch. 54. 64 MISCHNA, de Sabbatho, cap. II, §I, 2.

65 JOEL, I, 4.

66 YVART, Excursion agronomique en Auvergne; Paris, 1819.

67 Cantiq. des Cantiq., IV, 2.

68 ISAIE, I, 18.

69 II Rois, XIII, 23.

70 ISA1E, xxvIII, 28. Et sur le mot equis, que la Vulgate et d'autres interprètes ont cru devoir remplacer par celui d'ungulis, comme ayant rapport aux dents de charriot, voyez les Scolies de ROSENmuller. OSÉE, AMOS parlent de l'emploi des chevaux, mais pour la guerre (OSÉE, XIV, 4. —AMOS, II, 15).

71 Ubi non sunt boves, præsepe vacuum est : ubi autem plurimæ segetes, ibi manifesta est fortitudo bovis (Prov., XIV, 4).

72 Jug., v, 10.
73 Prov., xxx, 33.

74 MAIMONIDE, de Pœnis. — «Notre législateur veut que nous pratiquions la douceur même envers les animaux. Il ne nous permet d'en faire qu'un usage légitime; nous défend de tuer les animaux domestiques nés dans notre maison, de, faire mourir les petits avec les mères de ceux qu'il nous est permis de manger. Il veut aussi que l'on épargne les bêtes qui nous sont ennemies, et défend de tuer celles qui nous aident dans nos travaux » (JOSÈPHE, contra Appion., liv. 11, chap. VII).

75 Novit justus jumentorum suorum animas: viscera autem impiorum crudelia (Proc., XII, 10).

76 Deuter., XXII, I 2 "

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77 MISCHNA, tom. IV, de Damnis, lib. II, cap. VII, Commentaires, lib. III, cap. II, § 5.

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78 Prov., x, 4, 5; xvIII, 9; xx, 4; xxiv, 24-34; VI, 6–11; xII, 27; XIII, 4, 11; xxx,8.

79 Lévitiq., xxv, 5-7.

80 MISCHNA, de Principio anni, cap. 1, § 1-JOSÈPHE Antiq. judaïq.

81 MISCHNA, de Damnis, lib. I, cap. vII, §ultim. LEMPEREUR, pag. 165. SELDEN, de Jur. natur. et gentium juxta disciplin. Hebræor., lib. VI, cap. 2.

82 MISCHNA, de Damnis, lib. II, cap. 1.

loc. cit., lib. vi, cap. 4.

83 Juges, VI, 3-5.

Selden,

84 Extruxit etiam turres in solitudine, et effodit cisternas plurimas, eò quòd haberet multa pecora tàm in campestribus, quàm in eremi vastitate: vineas quoque habuit et vinitores in montibus, et in Carmelo; erat quippe homo agriculturæ deditus (II Chroniq., x).

85 PHILON, Oraison contre Flaccus. 86 Descriz. della Sicilia, GALANTI. Établissement des Européens dans les Indes.

RAYNAL,

114 Deuter., xxviii, 13.

115 Deuter., XXVIII, 44.

116 Juges, V, 17.- Fili hominis, pro eo quod dixit Tyrus de Jerusalem: Euge! confractæ sunt portæ populorum, conversa est ad me : implebor, deserta est (ÉZECHIEL, XXVI, 2):- Quomodò sedet sola civitas plena populo : facta est quasi vidua domina gentium princeps provinciarum facta est sub tributo (JÉRÉMIE, Lamentat., 1).

117 Esprit des Lois, liv. II, ch. II.

118 MÉZERAI, Hist. de France, an 1307.

119 De ce que l'argent a une valeur qui lui est propre comme tout ce qui est utile, de ce qu'il est une richesse comme une autre, il s'ensuit en encore que celui qui le possède peut en disposer comme de toute autre chose : qu'il a le droit de le consommer ou de le garder, de le donner ou de le prêter, de le louer ou de le vendre, suivant sa volonté....... Il n'y a pas plus de raison à obliger le possesseur à le louer moyennant une rétribution plus faible que celle qu'il en peut trouver, qu'à le contraindre à en donner pour une autre marchandise plus qu'on ne lui en demande, ou qu'à forcer le possesseur de l'autre marchandise à la donner pour moins d'argent qu'on ne lui en offre. Toutes les fois que l'autorité commet un de ces attentats au droit de propriété, elle trouble toutes les relations sociales. Il faut qu'elle emploie des moyens de rigueur odieux, et encore on y échappe par des subterfuges, des contre-lettres, etc..... Il faut être bien borné ou avoir renoncé, comme certains théologiens, à toute raison pour ne pas voir cela (M. DEstutt de Tracy, Comment. sur Montesquieu, liv. XXII).

« La théorie de l'intérêt est demeurée couverte d'un voile épais jusqu'à Hume et Smith qui l'ont levée... Dans l'échange ordinaire, tout est terminé quand l'échange est consommé; tandis que dans le prêt, il s'agit encore d'évaluer le risque que court le prêteur de ne pas rentrer en possession de la totalité ou d'une partie de son capital. Ce risque est apprécié

et payé au moyen d'une autre portion d'intérêt ajoutée à la première, et qui forme une véritable prime d'assurance. Toutes les fois qu'il est question d'intérêt de fonds, il faut soigneusement distinguer ces deux parties dont il se compose, sous peine d'en raisonner tout de travers, et souvent de faire, soit comme particulier, soit comme agent de l'autorité publique, des opérations inutiles ou fâcheuses.

on a.

>> C'est ainsi qu'on a constamment réveillé l'usure, quand voulu limiter le taux de l'intérêt, ou l'abolir entièrement. Plus les menaces étaient violentes, plus l'exécution en était rigoureuse, et plus l'intérêt de l'argent s'élevait. C'était le résultat de la marche ordinaire des choses. A Rome, pendant tout le temps de la république, l'intérêt de l'argent fut énorme. On l'aurait deviné si on ne l'avait pas su; les débiteurs, qui étaient les plébéiens, menaçaient continuellement leurs créanciers, qui étaient les patriciens.... Les Athéniens distinguaient jadis l'intérêt maritime de l'intérêt terrestre le premier allait à 30 pour cent, plus ou moins par voyage, soit au Pont-Euxin, soit dans un des ports de la Méditerranée. On pouvait bien faire deux de ces voyages par an, ce qui faisait revenir l'intérêt annuel à 60 pour cent environ; tandis que l'intérêt terrestre ordinaire était de 12 pour cent......

:

» Mahomet a proscrit le prêt à intérêt; qu'arrive-t-il dans les Etats musulmans? On prête à usure; il faut bien que le prêteur s'indemnise de l'usage de son capital qu'il cède, et de plus au péril de la contravention. La même chose est arrivée chez les Chrétiens aussi long-temps qu'ils ont prohibé le prêt à intérêt; et quand le besoin d'emprunter le leur faisait tolérer chez les Juifs, ceux-ci étaient exposés à tant d'humiliations, d'avanies, d'extorsions, tantôt sous un prétexte, tantôt sous un autre, qu'un intérêt considérable était seul capable de couvrir de dégoûts et de pertes si multipliées....

» Il convient que la loi fixe un intérêt; mais c'est pour les cas seulement où il est dû sans qu'il y ait eu de conven

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