Oeuvres de Delille, 10. kötet

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Furne, 1833

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124. oldal - Rome tant de guerres entreprises , tnnt de sang répandu , tant de peuples détruits , tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique, de sagesse, de prudence, de constance, de courage; ce projet d'envahir tout, si bien formé, si bien soutenu, si bien fini, à quoi aboutit-il...
124. oldal - ... de courage; ce projet d'envahir tout , si bien formé , si bien soutenu , si bien fini , à quoi aboutit-il , qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres? Quoi ! ce sénat...
265. oldal - D'un jour plus recueilli remplit le sanctuaire; Dans ton ivresse alors tu ramenais mes yeux Et des cieux à la terre, et de la terre aux cieux : « Dieu caché, disais-tu, la nature est ton temple ! L'esprit te voit partout quand notre œil la contemple ; De tes perfections, qu'il cherche à concevoir, Ce monde est le reflet, l'image...
76. oldal - Hélas ! lorsque l'hymen préparait sa couronne , Comme l'herbe des champs, le trépas vous moissonne ; Même heure, même lieu , vous virent immoler. Ah ! des yeux maternels quels pleurs durent couler ! Mais vos noms, sans vengeur, ne seront pas sans gloire Non : si ces vers touchants vivent dans la mémoire , Ils diront vos vertus.
303. oldal - Heureux celui qui près de toi soupire , Qui sur lui seul attire ces beaux yeux , Ce doux accent et ce tendre sourire ! Il est égal aux dieux. De veine en veine une subtile flamme Court dans mon sein sitôt que je te vois ; Et dans le trouble où s'égare mon âme , Je demeure sans voix. Je n'entends plus ; un voile est sur ma vue...
67. oldal - D'un auguste captif partager la misère, Tous deux s'aidaient l'un l'autre à porter leurs douleurs ; N'ayant plus d'autres biens, ils se donnaient des pleurs. Une fois arrachée à cet époux fidèle, Elle vivait sans lui, mais il vivait près d'elle.
124. oldal - Rome, tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuples détruits, tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique, de sagesse, de prudence, de constance, de courage; ce projet d'envahir tout, si bien formé, si bien soutenu, si bien fini; à quoi aboutit-il, qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres?
364. oldal - C'est un instinct profond vainement combattu , Et sans doute l'Être suprême Dans nos cœurs le grava lui-même, Pour combattre le vice et servir la vertu. • Dans sa demeure inébranlable , Assise sur l'éternité, La tranquille immortalité , Propice au bon et terrible au coupable , Du temps qui, sous ses yeux, marche à pas de géant, Défend l'ami de la justice, Et ravit à l'espoir du vice L'asile horrible du néant.
133. oldal - Laurent, serrez ma haire avec ma discipline, Et priez que toujours le ciel vous illumine. Si l'on vient pour me voir, je vais aux prisonniers Des aumônes que j'ai partager les deniers.
360. oldal - D'où me vient de mon cœur l'ardente inquiétude? En vain je promène mes jours Du loisir au travail, du repos à l'étude ; Rien n'en saurait fixer la vague incertitude, Et les tristes dégoûts me poursuivent toujours. Des voluptés essayons le délire, Couronnez-moi de fleurs, apportez-moi ma lyre ; Grâces, plaisirs, amours, jeux, ris, accourez tous. Que le vin coule, Que mon pied foule Les parfums les plus doux. Mais quoi!

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