Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à... Extraits des causeries du lundi - 215. oldalszerző: Charles Augustin Sainte-Beuve - 1891 - 615 oldalTeljes nézet - Információ erről a könyvről
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 oldal
...prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'çtais las. Je m'en apeicus enfinJe me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse-porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des... | |
| Vaysse de Villiers (M., Régis-Jean-François) - 1813 - 294 oldal
...blancs dans sa poche. « Je me couchai voluptueusement , 33 dit-il, sur la tablette d'une niche ou fausse » porte enfoncée dans un mur de, terrasse....des » arbres : un rossignol était précisément au » dessus de moi. Je m'endormis à son chant. » Mon sommeil fut doux, mon réveil le fut n davantage.... | |
| Charles Joseph Chambet - 1815 - 556 oldal
...las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sûr là tablette d'une espèce de niche enfoncée dans un mur de terrasse , le ciel de mon lit était formé par la tête des arbres , un rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 oldal
...prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étois las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou d'arcade enfoncée dans un mur de terrasse : le ciel de mon lit étoit formé par les têtes des arbres... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 oldal
...prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade sans m'apercevoir que j'étois las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou d'arcade enfoncée dans un mur de terrasse : le ciel de mon lit étoit formé par les têtes des arbres;... | |
| Christian Friedrich Mylius - 1818 - 428 oldal
...ciel de mon lit étoit formé par les têtes des arbres ; nn rossignol étoit précisément au dessus de moi; je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davan. ln?e. Il ¿toit grand jour } mee yeux en s'ouvrant virent l'eau, I» verdure , un paysage admirable.... | |
| Christian Friedrich Mylius - 1818 - 762 oldal
...ciel de mon lit étoit formé par les tètes des arbres j un rossignol éioit précisément au dessus de moi; je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux , mon réveil le fut du van. tage. Il étoit grand joui* y mes yeux en s'ouvrant virent l'eau, la verdure , un paysage admirable.... | |
| Charles Malo - 1823 - 516 oldal
...agréables; écoutons-le : « Je me couchai voluptueusement sur « la tablette d'une espèce de niche enfoncée dans « un mur de terrasse. Le ciel de mon...rossignol « était précisément au-dessus de moi; je m'en« dormis à son chant : mon sommeil fut doux , » mon réveil le fut davantage. Il était grand... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 oldal
...prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étois las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une...enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit étoit formé par les têtes des arbres; un rossignol étoit précisément au-dessus de moi : je m'endormis... | |
| 1825 - 500 oldal
...Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte; en' foncée dans un mur de terrasse > le ciel de mon lit était...je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux , inou ré' veil le fut davantage. Il était grand jour : tnes yeux en s'ouvrant virent l'eau , la... | |
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