Oeuvres de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire, 11. kötet

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A.A. Renouard, 1817

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Tartalomjegyzék

Des utilités de ladversité
61
De la résistance aux tentations
64
Quil faut éviter le jugement téméraire
71
Des œuvres faites par la charité
74
Comme il faut supporter dautrui
77
De la vie monastique
80
Des exemples des saints Pères
82
Des exercices dun bon religieux
94
De la componction du cœur
102
Des considérations de la misère humaine
108
De la méditation de la mort
117
Du jugement et des peines du péché
129
Du fervent amendement de toute la vie
137
CHAPITRE PREMIER De la conversation intérieure
149
De lhumble soumission
160
De lhomme pacifique
163
De la pureté du cœur et de la simplicité de lintention
167
De la considération de soimême
170
Des joies de la bonne conscience
173
De lamour de JésusChrist pardessus toutes choses
179
De lamitié familière de JésusChrist Page
183
Du manquement de toute sorte de consolations
190
De la reconnoissance pour les grâces de Dieu
199
Du petit nombre de ceux qui aiment la croix
205
CHAPITRE PREMIER De lentretien intérieur de JésusChrist
226
Quil faut écouter les paroles de Dieu avec
232
Quil faut marcher devant Dieu en esprit
240
Des épreuves du véritable amour
254
Quil faut cacher la grâce de la dévotion sous
262
Du peu destime de soimême en la présence
269
Quil y a beaucoup de douceur à mépriser
276
Quil faut examiner soigneusement les désirs
282
De lobéissance de lhumble sujet à lexemple
291
nos bonnes actions Page
295
Que les véritables consolations ne se doivent
304
Quil faut souffrir avec patience les peines
311
De laveu de la propre infirmité et des
321
Quil faut se reposer en Dieu pardessus tous
327
De linstabilité du coeur et de lintention finale quil faut dresser vers Dieu
387
Que celui qui aime Dieu le goûte en toutes choses et pardessus toutes choses
390
Que durant cette vie on nest jamais en sûreté contre les tentations
395
Contre les vains jugements des hommes
399
De la pure et entière résignation de soi même obtenir la liberté du cœur pour
403
De la bonne conduite aux choses extérieu res et du recours à Dieu dans les périls
407
Que lhomme ne doit point sattacher avec empressement à ses affaires
410
Que lhomme na rien de bon de soimême et ne se peut glorifier daucune chose
412
Du mépris de tous les honneurs
418
Quil ne faut point fonder sa paix sur les hommes
420
Contre la vaine science du siècle
424
Quil ne faut point sembarrasser des choses extérieures
429
Quil ne faut pas croire toutes personnes et quil est aisé de séchapper en paroles
431
De la confiance quil faut avoir en Dieu quand on est attaqué de paroles
438
Que pour la vie éternelle il faut endurer les choses les plus fâcheuses
445
Du jour de léternité et des angoisses de cette vie
449
Du désir de la vie éternelle et combien
456
Comment un homme désolé doit se remettre
464
Quil faut nous appliquer aux actions exté
473
Que la grâce de Dieu est incompatible avec
480
De la corruption de la nature et de leffi
496
Que nous devons renoncer à nousmêmes
503
Quil ne faut point vouloir pénétrer les hauts
513
Quil faut mettre en Dieu seul tout notre
523
PREFACE
529
Que le sacrement de lautel nous découvre
542
Quil est utile de communier souvent
549
Que ceux qui communient dévotement
555
De la dignité du sacrement et de létat
562
De lexamen de sa conscience et du propos
569
Quil faut nous offrir à Dieu avec tout ce
577
Quil ne faut pas aisément quitter la sainte
583
Que le corps de JésusChrist et la sainte Écriture
590
Quil faut se préparer avec grand soin à
602
De lardent désir de quelques dévots pour
610
Que nous devons découvrir toutes nos néces
619
Que lhomme ne doit point approfondir
628

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51. oldal - Ton ennemi par là peut savoir ton défaut. Recommande en commun aux bontés du Très-Haut Celles dont les vertus embellissent les âmes, Et, sans en voir jamais qu'avec un prompt adieu, Aime-les toutes, mais en Dieu.
231. oldal - D'y porter tous nos pas, d'y marcher jusqu'au bout ; Et tout ce qui vient d'eux ne passe point l'écorce, Mais tu pénètres tout.
232. oldal - Parle donc , ô mon Dieu ! ton serviteur fidèle , Pour écouter ta voix, réunit tous ses sens, Et trouve les douceurs de la vie eternelle En ses divins accents.
231. oldal - Ces prophètes enfin ont beau crier et dire, Ce ne sont que des voix, ce ne sont que des cris, Si pour en profiter l'Esprit qui les inspire Ne touche nos esprits. Silence donc, Moïse; et toi, parle en sa place, Eternelle, immuable, immense vérité; Parle, que je ne meure, enfoncé dans la glace De ma stérilité.
229. oldal - Ce qu'ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes désirs au seul désir d'entendre Tes hautes vérités. Mais désarme d'éclairs ta divine éloquence, Fais-la couler sans bruit au milieu de mon cœur : Qu'elle ait de la rosée et la vive abondance Et l'aimable douceur. . Vous la craigniez, Hébreux, vous croyiez que la foudre, Que la mort la suivît, et dût tout désoler, Vous qui dans le désert ne pouviez vous résoudre A l'entendre parler.
363. oldal - JOINS au mépris des biens celui des dignités ; Joins au mépris du rang celui des vanités D'une inconstante renommée : On condamne demain ce qu'on loue aujourd'hui, Et cette gloire enfin dont l'âme est si charmée, Comme le monde l'a formée, S'éclipse et passe comme lui. NE t'assure non plus au changement de lieux : Le cloître le plus saint ne garantit pas mieux...
190. oldal - Mais du côté de Dieu demeurer sans douceur, Quand nous foulons, aux pieds toute celle du monde , Accepter, pour sa gloire, une langueur profonde, Un exil où lui-même il abîme le cœur ; Ne nous chercher en rien alors que tout nous quitte , Ne vouloir rien qui plaise alors que tout déplaît , N'envoyer ni désirs vers le propre intérêt, Ni regards échappés vers le propre mérite : C'est un effort si grand , qu'il se faut élever Au-dessus de tout l'homme, avant que l'entreprendre; Sans se...
333. oldal - Dieu , viens sans demeure ; Tant que je ne te vois pas, II n'est point de jour ni d'heure Où je goûte aucun appas. Ma joie en toi seul réside ; Tu fais seul mes bons destins ; Et sans toi ma table est vuide Dans la pompe des festins.
34. oldal - O Dieu de vérité , pour qui seul je soupire , Unis-moi donc à toi par de forts et doux nœuds : Je me lasse d'ouïr , je me lasse de lire , Mais non pas de te dire, C'est toi seul que je veux.
18. oldal - Le peu de disposition que les matières y ont à la poésie, le peu de liaison non seulement d'un chapitre avec l'autre, mais d'une période même avec celle qui la suit, et la quantité des redites qui s'y rencontrent, sont des obstacles assez malaisés à surmonter.

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