 | Joseph Autran - 1856 - 326 oldal
...Vous, dignes héritiers des gloires sans mélange, Frères de Jeanne d'Arc, de Hoche et de Marceau! Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles N'ouvrez pas votre cœur, paysans, mes amis. A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles; Elles donnent, hélas, moins qu'elles n'ont promis... | |
 | 1856 - 928 oldal
...Vous, dignes héritiers des gloires sans mélange, Frères de Jeanne d'Arc, de Hoche et de Marceau! Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles, N'ouvrez pas votre cœur, paysans, mes amisl A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles; Elles donnent, hélas! moins qu'elles n'ont promis.... | |
 | 1856 - 1068 oldal
...distance, Je pensais : Montaigne a raison, « Les gueux ont leur magnificence ! >» Y. AUX PAYSANS. Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles, N'ouvrez pas votre creur, paysans, mes amis. A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles; Elles donnent, hélas! moins... | |
 | 1856 - 938 oldal
...distance, Je pensais : Montaigne a raison, « Les gueux ont leur magnificence ! » V. AUX PAYSANS. Aux voix q"ui vous diront la ville et ses merveilles, N'ouvrez pas votre coeur, paysans, mes amis. A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles; Elles donnent, hélas ! moins... | |
 | 1857 - 432 oldal
...chérir aux laboureurs les biens qu'ils ont sous la main : l'air, le soleil et la liberté. Il leur dit : Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles, N'ouvrez pas votre cœur, paysans, mes amis! A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles, Elles donnent, helas ! moins qu'elles n'ont promis... | |
 | Armand Guérand - 1858 - 840 oldal
...Faux serments jelés à boisseaux Au vent des publiques risées. Il a fui dans son Luberon, « cette montagne qui, par la beauté sauvage de ses pentes...mères serrant leurs enfants amaigris Sur les passants dislrails attachent leurs yeux mornes Sous un luxe qui ment, tel rit aux yeux du monde Qui tout bas... | |
 | 1859 - 540 oldal
...moissons. Soyez laboureurs, c'est la plus noble, la plus indépendante de toutes les professions. » Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles. N'ouvrez pas votre cœur, paysans , mes amis, A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles : Elles donnent , hélas ! moins qu'elles n'ont promis.... | |
 | Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1859 - 536 oldal
...c'est la plus noble, la plus indépendante de toutes les professions. » Aux voix qui vous (liront la ville et ses merveilles. N'ouvrez pas votre cœur, paysans , mes amis, A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles : Elles donnent , hélas ! moins qu'elles n'ont promis.... | |
 | 1856 - 592 oldal
...mauvaises que la poésie socialiste et révolutionnaire leur a quelquefois fait entendre. Aux Paysans. Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles N'ouvrez pas votre cœur, paysans mes amis ! A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreille ; Elles donnent, hélas! moins qu'elles n'ont promis.... | |
 | Armand comte de Pontmartin - 1876 - 400 oldal
...leur canton une place dans les chemins de fer ou à l'octroi de la ville voisine : AUX PAYSANS A ceux qui vous diront la ville et ses merveilles N'ouvrez pas votre cœur, paysans, mes amis ! A l'appel des cités n'ouvrez pas vos oreilles; Elles donnent, hélas 1 moins qu'elles n'ont promis.... | |
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Aux voix qui vous diront la ville et ses merveilles, N'ouvrez pas votre cœur, paysans, mes amis ! A l'appel des cités, n'ouvrez pas vos oreilles : Elles donnent, hélas ! moins qu'elles n'ont promis. 
