Oeuvres complettes de J. La Fontaine: précédées d'une nouvelle notice sur sa vie. Fables, 2. kötetCrapelet, 1814 |
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72. oldal
... pleurs Est passé ; la douleur est ici superflue . Votre digne moitié , couchée entre des fleurs , Tout près d'ici m'est apparue ; Et je l'ai d'abord reconnue . Ami , m'a - t - elle dit , garde que ce convoi , Quand je vais chez les ...
... pleurs Est passé ; la douleur est ici superflue . Votre digne moitié , couchée entre des fleurs , Tout près d'ici m'est apparue ; Et je l'ai d'abord reconnue . Ami , m'a - t - elle dit , garde que ce convoi , Quand je vais chez les ...
133. oldal
... pleurs ; Il a le moins de part au trésor qu'il enserre , Thésaurisant pour les voleurs , Pour ses parents , ou pour la terre . Mais que dire du troc que la Fortune fit ? Ce sont là de ses traits ; elle s'en divertit : Plus le tour est ...
... pleurs ; Il a le moins de part au trésor qu'il enserre , Thésaurisant pour les voleurs , Pour ses parents , ou pour la terre . Mais que dire du troc que la Fortune fit ? Ce sont là de ses traits ; elle s'en divertit : Plus le tour est ...
185. oldal
... Pleurs , soupirs , tout en fut : bref , il n'oublia rien . Le fils de Jupiter devoit , par sa naissance , Avoir un autre esprit , et d'autres dons des cieux , Que les enfants des autres dieux : Il sembloit qu'il n'agît que par ...
... Pleurs , soupirs , tout en fut : bref , il n'oublia rien . Le fils de Jupiter devoit , par sa naissance , Avoir un autre esprit , et d'autres dons des cieux , Que les enfants des autres dieux : Il sembloit qu'il n'agît que par ...
197. oldal
... Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et mettant en nos mains , par un juste retour , Les armes dont se sert sa vengeance sévère , Il ne vous fasse , en sa colère , Nos esclaves à votre tour . Et pourquoi sommes - LIVRE XI .
... Ne transporte chez vous les pleurs et la misère ; Et mettant en nos mains , par un juste retour , Les armes dont se sert sa vengeance sévère , Il ne vous fasse , en sa colère , Nos esclaves à votre tour . Et pourquoi sommes - LIVRE XI .
223. oldal
... pleurs . Point du tout les consolateurs De ce triste devoir tout au long s'acquittèrent , Quand il plut à Dieu s'en allèrent : Ce ne fut pas sans boire un coup , C'est - à - dire sans prendre un droit de pâturage . Tout se mit à brouter ...
... pleurs . Point du tout les consolateurs De ce triste devoir tout au long s'acquittèrent , Quand il plut à Dieu s'en allèrent : Ce ne fut pas sans boire un coup , C'est - à - dire sans prendre un droit de pâturage . Tout se mit à brouter ...
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199. oldal - Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.' Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port, allant à l'Amérique ; L'autre, afin de monter aux grandes dignités, Dans les emplois de Mars servant la république, Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et, pleurés du vieillard,...
111. oldal - Le Gland et la Citrouille. Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve.
22. oldal - Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine ; S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
199. oldal - De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
55. oldal - Rien ne pèse tant qu'un secret : Le porter loin est difficile aux dames; Et je sais même sur ce fait Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
197. oldal - La terre et le travail de l'homme Font pour les assouvir des efforts superflus Retirez-les : on ne veut plus Cultiver pour eux les campagnes. Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes ; Nous laissons nos chères compagnes ; Nous ne conversons...
23. oldal - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
196. oldal - Le personnage en raccourci : Son menton nourrissait une barbe touffue ; Toute sa personne velue Représentait un ours, mais...
45. oldal - Que vous êtes pressante, ô déesse cruelle ! — Vieillard, lui dit la Mort, je ne t'ai point surpris; Tu te plains sans raison de mon impatience Eh ! n'as-tu pas cent ans ? Trouve-moi dans Paris Deux mortels aussi vieux ; trouve-m'en dix en France. Je devais, ce...
24. oldal - J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue, Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.