Oeuvres complettes de J. La Fontaine: précédées d'une nouvelle notice sur sa vie. Fables, 2. kötetCrapelet, 1814 |
Részletek a könyvből
1 - 5 találat összesen 14 találatból.
13. oldal
... conte ; Vous verrez que chez vous j'ai puisé ces leçons . FABLE V. La Fille . CERTAINE fille , un peu trop fière , Prétendoit trouver un mari Jeune , bien fait et beau , d'agréable manière , Point froid et point jaloux : notez ces deux ...
... conte ; Vous verrez que chez vous j'ai puisé ces leçons . FABLE V. La Fille . CERTAINE fille , un peu trop fière , Prétendoit trouver un mari Jeune , bien fait et beau , d'agréable manière , Point froid et point jaloux : notez ces deux ...
51. oldal
... contes vulgaires ? Vous puis - je offrir mes vers et leurs graces légères ? S'ils osent quelquefois prendre un air de grandeur , Seront - ils point traités par vous de téméraires ? Vous avez bien d'autres affaires A démêler que les ...
... contes vulgaires ? Vous puis - je offrir mes vers et leurs graces légères ? S'ils osent quelquefois prendre un air de grandeur , Seront - ils point traités par vous de téméraires ? Vous avez bien d'autres affaires A démêler que les ...
53. oldal
... contes d'enfants son peuple s'embarrasse ; Et du péril qui le menace Lui seul entre les Grecs il néglige l'effet ... conté , J'y prendrois un plaisir extrême . Le monde est vieux , dit - on : je le crois ; cependant Il le faut amuser ...
... contes d'enfants son peuple s'embarrasse ; Et du péril qui le menace Lui seul entre les Grecs il néglige l'effet ... conté , J'y prendrois un plaisir extrême . Le monde est vieux , dit - on : je le crois ; cependant Il le faut amuser ...
69. oldal
... contes , à son avis , Sont obscurs : les beaux esprits N'entendent pas toute chose . Faisons donc quelques récits Qu'elle déchiffre sans glose : Amenons des bergers ; et puis nous rimerons disent entre eux les loups et les moutons . Ce ...
... contes , à son avis , Sont obscurs : les beaux esprits N'entendent pas toute chose . Faisons donc quelques récits Qu'elle déchiffre sans glose : Amenons des bergers ; et puis nous rimerons disent entre eux les loups et les moutons . Ce ...
131. oldal
... conte Que la plus forte passion C'est la peur ; elle fait vaincre l'aversion , Et l'amour quelquefois : quelquefois il la domte ; J'en ai pour preuve cet amant Qui brûla sa maison pour embrasser sa dame , L'emportant à travers la flamme ...
... conte Que la plus forte passion C'est la peur ; elle fait vaincre l'aversion , Et l'amour quelquefois : quelquefois il la domte ; J'en ai pour preuve cet amant Qui brûla sa maison pour embrasser sa dame , L'emportant à travers la flamme ...
Más kiadások - Összes megtekintése
Gyakori szavak és kifejezések
alloit amant amour animaux Apollon assez avoient avoit Baucis beau belette belle berger bête bois bramin C'étoit cent Cérès cerf charmes chasseur chat Chauve-Souris Chèvre chien chose ciel cieux Cloris Clymène cœur conte coqs corbeau Cormoran crut déesse Dieu dieux dire disoit dit-il doux éléphant encens enfants enfin Eschyle Ésope esprit étoit FABLE VII FABLE XV faisoit femme fille Fortune gazelle gens grace Grenouilles Hélas homme hôtes hymen Iole j'ai J'en jeune jour Jupiter l'ame l'amour l'animal l'autre l'Éléphant L'homme l'oiseau l'ours l'un l'univers laisse lapin Lion logis loup maint maître messieurs mieux Milan mort mouche mouton n'avoit n'en neuf Sœurs par-tout passant peine peuple Philémon Philémon et Baucis Pilpay plaisir pleurs prince qu'un raison Renard rien s'en sage Scythe seroit serpent seul Singe sœurs soins sort souris Styx Télamon Thisbé Tircis Tortue trésor Ulysse veux voilà voleurs yeux
Népszerű szakaszok
199. oldal - Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.' Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port, allant à l'Amérique ; L'autre, afin de monter aux grandes dignités, Dans les emplois de Mars servant la république, Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et, pleurés du vieillard,...
111. oldal - Le Gland et la Citrouille. Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve.
22. oldal - Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine ; S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
199. oldal - De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
55. oldal - Rien ne pèse tant qu'un secret : Le porter loin est difficile aux dames; Et je sais même sur ce fait Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
197. oldal - La terre et le travail de l'homme Font pour les assouvir des efforts superflus Retirez-les : on ne veut plus Cultiver pour eux les campagnes. Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes ; Nous laissons nos chères compagnes ; Nous ne conversons...
23. oldal - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
196. oldal - Le personnage en raccourci : Son menton nourrissait une barbe touffue ; Toute sa personne velue Représentait un ours, mais...
45. oldal - Que vous êtes pressante, ô déesse cruelle ! — Vieillard, lui dit la Mort, je ne t'ai point surpris; Tu te plains sans raison de mon impatience Eh ! n'as-tu pas cent ans ? Trouve-moi dans Paris Deux mortels aussi vieux ; trouve-m'en dix en France. Je devais, ce...
24. oldal - J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue, Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.