Annales du musée et de l'école moderne des beaux-arts...: Tome complementaire, 1809. 1 vC. P. Landon, 1809 |
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... ciel . La Vierge est évanouie entre les bras des saintes femmes . Dans la multitude de personnages qui entourent le lieu du sup- plice , on distingue des cavaliers armés , et l'un des bourreaux , tenant une éponge au bout d'un roseau ...
... ciel . La Vierge est évanouie entre les bras des saintes femmes . Dans la multitude de personnages qui entourent le lieu du sup- plice , on distingue des cavaliers armés , et l'un des bourreaux , tenant une éponge au bout d'un roseau ...
14. oldal
... ciel ! OS MIN . Son amante en furie , Près de ces lieux , seigneur , craignant votre secours Avait au nœud fatal abandonné ses jours . Moi - même des objets j'ai vu le plus funeste 9 Et de sa vie en vain j'ai cherché quelque reste ...
... ciel ! OS MIN . Son amante en furie , Près de ces lieux , seigneur , craignant votre secours Avait au nœud fatal abandonné ses jours . Moi - même des objets j'ai vu le plus funeste 9 Et de sa vie en vain j'ai cherché quelque reste ...
23. oldal
... ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais m'arrache sans retour ; Et que par mon devoir , esclave infortunée A d'éternels soucis je me voie enchaînée ? Il faut ...
... ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais m'arrache sans retour ; Et que par mon devoir , esclave infortunée A d'éternels soucis je me voie enchaînée ? Il faut ...
24. oldal
... ciel ! quoi , je serais ce bienheureux coupable Que vous avez pu voir d'un regard favorable ? Vos pleurs pour Xipharès auraient daigner couler ? MONI ME . Oui , prince , il n'est plus temps de le dissimuler ; Ma douleur , pour se taire ...
... ciel ! quoi , je serais ce bienheureux coupable Que vous avez pu voir d'un regard favorable ? Vos pleurs pour Xipharès auraient daigner couler ? MONI ME . Oui , prince , il n'est plus temps de le dissimuler ; Ma douleur , pour se taire ...
55. oldal
... ciel ! quelle scène inouie ! Mais sa Phrosine était évanouie ; Trop de frayeur , de fatigue et d'efforts , Avaient , hélas ! épuisé ses ressorts ..... etc. ( PHROSINE ET MÉLIDORE , chant IV . ) Ce joli dessin , où l'on trouve de l ...
... ciel ! quelle scène inouie ! Mais sa Phrosine était évanouie ; Trop de frayeur , de fatigue et d'efforts , Avaient , hélas ! épuisé ses ressorts ..... etc. ( PHROSINE ET MÉLIDORE , chant IV . ) Ce joli dessin , où l'on trouve de l ...
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55. oldal - Tes remords te suivront comme autant de furies; Tu croiras les calmer par d'autres barbaries; Ta fureur, s'irritant soi-même dans son cours, D'un sang toujours nouveau marquera tous tes jours. Mais j'espère qu'enfin le ciel, las de tes crimes, Ajoutera ta perte à tant d'autres victimes; Qu'après t'être couvert de leur sang et du mien, Tu te verras forcé de répandre le tien; Et ton nom paraîtra dans la race future, Aux plus cruels tyrans une cruelle injure.
121. oldal - O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
90. oldal - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée; Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié. Porte au pied des autels ce cœur qui m'abandonne : Va, cours;...
90. oldal - Les moments me sont chers ; écoutez-moi, Thésée : C'est moi qui, sur ce fils chaste et respectueux, Osai jeter un œil profane, incestueux. Le ciel mit dans mon sein une flamme funeste : La détestable Œnone a conduit tout le reste.
55. oldal - Que dis-je? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime!
90. oldal - Réserve à d'autres yeux la gloire de vous plaire, Achevez votre hymen, j'y consens; mais, du moins, Ne forcez pas mes yeux d'en être les témoins. Pour la dernière fois je vous parle peut-être ; Différez-le d'un jour, demain vous serez maître Vous ne répondez point?...
90. oldal - Furieuse, elle vole, et, sur l'autel prochain, Prend le sacré couteau, le plonge dans son sein. A peine son sang coule et fait rougir la terre, Les dieux font sur l'autel entendre le tonnerre; Les vents agitent l'air d'heureux frémissements...
121. oldal - Entre le pauvre et vous , vous prendrez Dieu pour juge Vous souvenant , mon fils , que caché sous ce lin , Comme eux vous fûtes pauvre , et comme eux orphelin JOAS, au milieu de la table , ayant la main sur le livre saint.
90. oldal - Sans que ta mort encor, honteuse à ma mémoire, De mes nobles travaux vienne souiller la gloire. Fuis : et, si tu ne veux qu'un châtiment soudain T'ajoute aux scélérats qu'a punis cette main, Prends garde que jamais l'astre qui nous éclaire Ne te voie en ces lieux mettre un pied téméraire. Fuis, dis-je; et, sans retour précipitant tes pas , De ton horrible aspect purge tous mes états.
115. oldal - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.