La nouvelle abeille du Parnasse: ou, Choix de morceaux tirés de nos meilleurs poëtes, à l'usage des maisons d'éducationchez Le Prieur, et l'éditeur, Charles Const. Le Tellier, 1815 - 285 oldal |
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... bonheur pour moi , pour cette étoffe , De ne point habiter ce pays limitrophe Des conquêtes de notre roi ! Dans la Hollande , il est une autre loî : En vain j'étalerois ce galon qu'on renomme , En vain j'exalterois sa valeur , son débit ...
... bonheur pour moi , pour cette étoffe , De ne point habiter ce pays limitrophe Des conquêtes de notre roi ! Dans la Hollande , il est une autre loî : En vain j'étalerois ce galon qu'on renomme , En vain j'exalterois sa valeur , son débit ...
14. oldal
... bonheur Se fasse ressentir à tout ce qui le touche , ) Des larmes de plaisir coulèrent de mes yeux . Ce bon père ! disois - je , à quel point il nous aime ! Il a veillé pour nous , et dans son sommeil même , Il sait encor nous rendre ...
... bonheur Se fasse ressentir à tout ce qui le touche , ) Des larmes de plaisir coulèrent de mes yeux . Ce bon père ! disois - je , à quel point il nous aime ! Il a veillé pour nous , et dans son sommeil même , Il sait encor nous rendre ...
15. oldal
... bonheur ! Dans mes bras paternels tu vois tout ce que j'aime ! Laisse - moi mes enfants ! c'est la seule faveur Que je demande encore à ta bonté suprême . RUTH , ÉGLOGUE TIRÉE DE L'ÉCRITURE SAINTE . Par FLORIAN . LE plus saint des ...
... bonheur ! Dans mes bras paternels tu vois tout ce que j'aime ! Laisse - moi mes enfants ! c'est la seule faveur Que je demande encore à ta bonté suprême . RUTH , ÉGLOGUE TIRÉE DE L'ÉCRITURE SAINTE . Par FLORIAN . LE plus saint des ...
16. oldal
... bonheur rendroit ma peine moins amère . Adieu ; n'oubliez pas que je fus votre mère . Elle les presse alors sur son cœur palpitant . Orpha baisse les yeux , et pleure en la quittant . Ruth demeure avec elle : Ah ! laissez - moi vous ...
... bonheur rendroit ma peine moins amère . Adieu ; n'oubliez pas que je fus votre mère . Elle les presse alors sur son cœur palpitant . Orpha baisse les yeux , et pleure en la quittant . Ruth demeure avec elle : Ah ! laissez - moi vous ...
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... bonheur , n'en doutez point , ma fille ; Le vertheux Boozjest de notre famille : 1 Et nos lois .. Je ne puis vous expliquer des mots , Mais retournez demain dans le champ de Booz : Il vous demandera quel sang vous a fait naître ...
... bonheur , n'en doutez point , ma fille ; Le vertheux Boozjest de notre famille : 1 Et nos lois .. Je ne puis vous expliquer des mots , Mais retournez demain dans le champ de Booz : Il vous demandera quel sang vous a fait naître ...
Gyakori szavak és kifejezések
abyme Achille affreux AGAMEMNON airs amour ATHALIE autels avoit beau berceau bienfaits Boileau bonheur bras briller bruit C'est-là Calchas charme Chênedollé chère Chloé ciel cieux Clytemnestre cœur connoissez connoître cris cruel Cyrène Delille destin Dieu dieux dit-il douleur doux eaux Égisthe enfants époux étoit Eurydice expire Fanfan fille fils fleurs flots foible foiblesse frémir front fureur gloire Goffin hélas héros heureux hymenée Icare immolée infortunée Iphigénie j'ai jour l'amour l'ange l'Éternel l'onde larmes lieux loin long-temps LYCORIS Madame DESHOULIÈRES main malheureux maux Médor Ménélas mère Mérope MIRTIL monstre mort mortels mourir mugit Ninive Noémi nuit obscure Oronte par-tout peine père Pérette peuple plaisir plaisirs pleurs poëme poëte Pradon qu'un Ragès Raguel rien rois ruisseaux Ruth sage saint sais sang sanglant secours Seigneur seul siffle soins sort soudain temple tendre tendresse terre Tobie trembler trépas trésors triste troupeaux vertu Vésuve veux victime vieillard vois voix yeux Zéphyrs
Népszerű szakaszok
154. oldal - Voulait venger la cour immolée au parterre. Mais , sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable comédie , avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir , Et sur ses brodequins ne put plus se tenir.
250. oldal - Vous ne démentez point une race funeste; Oui, vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin.
151. oldal - Prend le sacré couteau, le plonge dans son sein. A peine son sang coule et fait rougir la terre, Les dieux font sur l'autel entendre le tonnerre; Les vents agitent l'air d'heureux frémissements, Et la mer leur répond par ses mugissements, La rive au loin gémit, blanchissante d'écume; La flamme du bûcher d'elle-même s'allume; Le ciel brille d'éclairs, s'entr'ouvre, et parmi nous Jette une sainte horreur qui nous rassure tous.
193. oldal - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
155. oldal - Je sais sur leurs avis corriger mes erreurs, Et je mets à profit leurs malignes fureurs. Sitôt que sur un vice ils pensent me confondre, C'est en me...
168. oldal - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux. Son front large est armé de cornes menaçantes. Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux...
248. oldal - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigne
168. oldal - Ses longs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage; La terre s'en émeut , l'air en est infecté ; Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
98. oldal - Que toujours deux voisins auront entre eux la guerre, Que la soif d'envahir et d'étendre ses droits Tourmentera toujours les meuniers et les rois ? En cette occasion, le roi fut le moins sage; II lorgna du voisin le modeste héritage...
236. oldal - J'ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant. Au midi de mes années, Je touchais à mon couchant ; La mort , déployant ses ailes , Couvrait d'ombres éternelles La clarté dont je jouis, Et dans cette nuit funeste Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ! votre main réclame Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus.