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" se moquer de nous. Après, silence « s'étant fait, je lui dis que j'étais venu « vers son fils, parce que nous avions « ouï dire qu'il était chrétien, et que je « lui avais apporté des lettres de la part •< du roi de France, mon souverain "
Tartarie, Béloutchistan, Boutan et Népal, par m. Dubeux et V. Valmont ... - 323. oldal
szerző: Louis Dubeux - 1848
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Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Évariste Régis Huc - 1857 - 502 oldal
...quoi mon truchement eut grande crainte , lui qui me devait conforter de n'avoir point de peur. « Le silence s'étant fait, je lui dis que j'étais venu vers son fils, parce que nous avions oui-dire qu'il était chrétien et que je lui avais porté des lettres de la part du roi de France,...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Evariste Régis Huc - 1857 - 508 oldal
...quoi mon truchement eut grande crainte , lui qui me devait conforter de n'avoir point de peur. « Le silence s'étant fait, je lui dis que j'étais venu vers son fils, parce que nous avions oui-dire qu'il était chrétien et que je lui avais porté des lettres de la part du roi de France,...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet: Depuis l'apostolat de ...

Evariste Régis Huc - 1857 - 526 oldal
...quoi mon truchement eut grande crainte , lui qui me devait conforter de n'avoir point de peur. « Le silence s'étant fait, je lui dis que j'étais venu vers son fils, parce que nous avions ouï-dire qu'il était chrétien et que je lui avais porté des lettres de la part du roi de France,...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Evariste Régis Huc - 1857 - 552 oldal
...quoi mon truchement eut grande crainte , lui qui me devait conforter de n'avoir point de peur. « Le silence s'étant fait, je lui dis que j'étais venu vers son fils, parce que nous avions oui-dire qu'il était chrétien et que je lui avais porté des lettres de lu part du roi de France,...

Deux voyages en Asie au XIIIe siècle

Marco Polo - 1888 - 336 oldal
...grande crainte, lui qui nie devait encourager à n'avoir point de peur. Après qu'on eut fait silence, je lui dis que «j'étais venu vers son fils, parce...lettres de la part du roi de France, mon souverain seigneur ». Ayant ouï cela, il me fit lever debout, s'enquit du nom de Votre Majesté, de ceux de...




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