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" C'est, répondit le général, d'aller à la chasse par un jour de printemps, monté sur un beau cheval, tenant sur le poing un épervier ou un faucon, et de voir l'oiseau abattre sa proie. > II adressa la même question à d'autres officiers, qui firent... "
Tartarie, Béloutchistan, Boutan et Népal, par m. Dubeux et V. Valmont ... - 303. oldal
szerző: Louis Dubeux - 1848
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Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Evariste Régis Huc - 1857 - 508 oldal
...était, à son avis, le plus grand plaisir de l'homme. « C'est, répondit-il, d'aller à la chasse, un jour de « printemps, monté sur un beau cheval,...tenant sur « le poing un épervier ou un faucon, et de le voir « abattre sa proie.» — «Non, reprit Tchinguiz-Khan, la « plus grande jouissance de l'homme...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet: Depuis l'apostolat de ...

Evariste Régis Huc - 1857 - 526 oldal
...était, à son avis, le plus grand plaisir de l'homme. « C'est, répondit-il, d'aller à la chasse, un jour de « printemps, monté sur un beau cheval,...sur « le poing un épervier ou un faucon , et de le voir « abattre sa proie. » — «Non, reprit Tchinguiz-Khan, la « plus grande jouissance de l'homme...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Evariste Régis Huc - 1857 - 552 oldal
...était, à son avis, le plus grand plaisir de l'homme. « C'est, répondit-il, d'aller à la chasse , un jour de « printemps, monté sur un beau cheval,...sur « le poing un épervier ou un faucon , et de le voir « abattre sa proie.» — «Non, reprit Tchinguiz-Khan, la « plus grande jouissance de l'homme...

Le christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet, 1. kötet

Évariste Régis Huc - 1857 - 502 oldal
...était, à son avis, le plus grand plaisir de l'homme. « C'est, répondit-il, d'aller à la chasse, un jour de « printemps, monté sur un beau cheval, tenant sur « le poing un épervier ou un faucon , el de le voir « abattre sa proie.» — «Non, reprit Tchinguiz-Khan, la « plus grande jouissance...

La Chine

1922 - 602 oldal
...l'Impératri(a) Un jour il demandait à un de ses chefs quel était le plus grand plaisir que l'homme put trouver sur la terre. « C'est, répondit le général,...beau cheval, tenant sur le poing un épervier ou un fjucon, et de voir l'oiseau abattre sa proie. »-« Non, répond Gengis, la plus grande jouissance...




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