Œuvres choisies: PoèmeBrasseur aîné, 1810 |
Gyakori szavak és kifejezések
Agent de Change articles pressés auteurs avez Avocat Avoué Banquier beau beautés Boileau bruit cadence chansons CHANT citer consonnes coup COURRIER LYRIQUE critique Delille Denys d'Halicarnasse dire doux Employé Etrennes Eustelle Eutrope Fontaine genre gens goût grec grondant harmonie hasard hémistiche Homme de Lettres instrumens j'ai Jacquot juste l'abbé Delille l'Année Littéraire L'AUTEUR l'Envoyé de l'Année L'ENVOYÉ DU JOURNAL l'harmonie imitative l'Institut l'oreille laisser langue française latin lire en plan littérateurs Médecin MESSIEURS monosyllabes monsieur morceaux mots muse Négociant Notaire ouvrage papier des Vosges parle peindre peint Petites Affiches Pharmacien pigeon Piis plaisir plan tire lire plein plan poëme poésie poëte Poétique Préfecture de Police Préfet premier professeur Propriétaire prouver qu'un Quintilien Racine raison rimes Rlan tan plan rôle de bonnes Rollin satire Secrétaire général Sénateur Comte seul siffle Sous-Préfet style sublime sujet syllabes tion trouve vélin Virgile Voltaire voyelles рар
Népszerű szakaszok
235. oldal - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout , brouilla tout , fit un art à sa mode , Et toutefois longtemps eut un heureux destin.
269. oldal - Au pied du mont Adule, entre mille roseaux *, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux, Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante : Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
235. oldal - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, i Et réduisit la muse aux règles du devoir.
266. oldal - Ce n'était plus ce prince environné de gloire, Aux combats, dès l'enfance, instruit par la victoire, Dont l'Europe en tremblant regardait les progrès, Et qui de sa patrie emporta les regrets, Quand du nord étonné de ses vertus suprêmes Les peuples à ses pieds mettaient les diadèmes. Tel brille au second rang, qui s'éclipse au premier ; II devint lâche roi, d'intrépide guerrier : Endormi sur le trône au sein de la mollesse, Le poids de sa couronne accablait sa faiblesse.
155. oldal - Un pédant, enivré de sa vaine science, Tout hérissé de grec, tout bouffi d'arrogance, Et qui, de mille auteurs retenus mot pour mot, Dans sa tête entassés, n'a souvent fait qu'un sot, Croit qu'un livre fait tout, et que sans Aristote3 La raison ne voit goutte, et le bon sens radote.
74. oldal - On reposait la nuit, on dormait tout le jour. Seulement au printemps, quand Flore dans les plaines Faisait taire des vents les bruyantes haleines, Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent.
148. oldal - Suis-moi donc. Mais je vois , sur ce début de prône , Que ta bouche déjà s'ouvre large d'une aune , Et que les yeux fermés , tu baisses le menton. Ma foi, le plus sûr est de finir ce sermon. Aussi bien j'aperçois ces melons qui t'attendent, Et ces fleurs qui là-bas entre elles se demandent S'il est fête au village , et pour quel saint nouveau On les laisse aujourd'hui si longtemps manquer d'eau. EPITRE XII. SUK L'AMOUR DE DIEU. I695. A M. L'ABBÉ RENAUDOT'.
261. oldal - Ignavum, fucos, pecus a praesepibus arcent. Fervet opus, redolentque thymo fragrantia mella Ac veluti, lentis Cyclopes fulmina massis...
292. oldal - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
235. oldal - Le caprice tout seul faisait toutes les lois. La rime, au bout des mots assemblés sans mesure, Tenait lieu d'ornements, de nombre et de césure.